Poésie

 Les lèvres parlent le langage de l’amour Les mots doux sont des pléonasmes charmants Que je répète toute la nuit […]

Je suis l’humanité, blessée  mais debout, un souffle dans la nuit, une flamme fragile. Je tombe mille fois, mais je

Du bois d’une porte fermée Par des blessures passées Fais un feu ardent de joie D’une guitare désaccordée Laissée et

Il y a ce rêve. Toujours le même un retour sans fin vers ce lieu inconnu. Les toits y fument

Un petit texte écrit lors de l’ atelier d’écriture de Delphine Burnod, la Diseuse. Le vent, dans les branches, souffle

Pour quoi j’écris ? Pour qui ? Je me suis souvent posé ces questions Je ne suis pas seule. Dans

  Il y eut cette rencontreni prévue ni rêvée —Elle portait l’accent d’une diasporaFaite de silences de chants oubliésD’exils cousus

J’ai foi Je  connais la noirceur,Je ne lui tourne pas le dos,Je suis au cœur de son chaos. Je connais

Seul Sous le soleil de Tunis  Chez mes parents ; allongé dans ma chambre de la maison familiale cette Ghibli,